FO vous souhaite une excellente année 2023

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pour vous, votre famille et vos proches

Avec quelques incertitudes sur les nouveautés : organisation, outils, classification et de grandes certitudes sur les invariants : salaire, conditions de travail, temps de travail, …

Il y aura toujours des combats à mener, des positions à défendre, des revendications à porter. Nous serons toujours présents, à vos côtés, pour vous accompagner et vous défendre.

Votre retraite : Un acquis à défendre !

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Face au projet du gouvernement de reporter l’âge de départ à la retraite, une seule réponse :

Tous en grève et dans les manifestations

le 19 janvier 2023 !

64 ans, pour FO c’est NON !

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Alors que plus de 80 % des Français sont opposés au report de l’âge de départ à la retraite à 64 ans, le gouvernement a annoncé la mise en œuvre rapide d’une réforme des retraites :

⇒ Les salariés nés à partir du 1er septembre 1961 verront leur âge légal de départ passer progressivement de 62 à 64 ans (le 1er septembre 2023, tout salarié souhaitant partir en retraite devra avoir 62 ans et 3 mois).

Tous les salariés nés en 1968 et après ne pourront pas partir à la retraite avant 64 ans.

⇒ Pour partir avec une retraite à taux plein, il faudra 43 années de cotisation (172 trimestres) en 2027 au lieu de 2035, comme le prévoyait la réforme Touraine.

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Ces mesures obligeront les salariés à travailler plus longtemps, alors même qu’un salarié sur deux n’est déjà plus en emploi au moment de liquider sa retraite. Rien ne justifie l’urgence de cette réforme alors que le régime de retraite sera encore excédentaire de 3,2 milliards d’euros cette année !

L’ensemble des organisations syndicales (FO, CFDT, CFTC, CFE-CGC, CGT, UNSA, FSU, Solidaires) a rappelé qu’elles n’accepteront ni report de l’âge légal de départ, ni augmentation de la durée de cotisation. Elles appellent donc à une première journée d’actions, de grèves et manifestations jeudi 19 janvier.

FO appelle l’ensemble de ses militants et les salariés à participer massivement aux grèves et manifestations le jeudi 19 janvier.

Ensemble, nous pouvons faire reculer le gouvernement !

Exigeons le retrait de la réforme des retraites !

Départ à 64 ans et 43 ans de cotisation en 2027,

c’est NON !.

En pratique, comment procéder ?

Tout salarié d’une entreprise peut utiliser son droit de grève à partir du moment où un appel à la grève nationale le 19 janvier 2023 a été lancé par FO, qui couvre l’ensemble des salariés.
La durée de la grève peut être à la journée ou moins, par exemple la durée de la manifestation. Vous déclarez sur SmartRH votre strict temps de grève.
Vous pouvez informer votre employeur de votre mise en grève jusqu’au dernier moment. Vous n’avez pas à respecter de délai de prévenance ni à donner votre intention d’exercer votre droit de grève.
La grève suspend le contrat de travail, mais ne le rompt pas. Aucun salarié ne peut être sanctionné, ni faire l’objet d’une discrimination pour avoir fait grève.
L’employeur retient sur la paie du salarié une part du salaire et de ses éventuels accessoires (indemnité de déplacement, par exemple). La retenue sur la rémunération doit être proportionnelle à la durée de l’arrêt de travail. Toute retenue supérieure est interdite. L’exercice du droit de grève ne doit pas être mentionné sur le bulletin de paie du gréviste.
Si vous souhaitez uniquement être présent à aux manifestations et ne pas faire grève, c’est possible. Il vous suffit de respecter votre temps de travail hebdomadaire et rattraper votre absence ponctuelle pour manif sur les autres jours de la semaine. Vos déclarations sur SmartRH doivent faire apparaître cela, pourvu que votre temps de travail contractuel soit respecté. Dans ces conditions, votre salaire ne sera pas impacté.

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2023

Ce qui change … ou pas

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Inflation et SMIC

L’année 2021 avait été une année avec une nette reprise de l’inflation (+2,8%). Mais l’année 2022 a fait beaucoup mieux avec une augmentation de l’Indice des Prix à la Consommation de +6,2% à fin novembre sur un an. Et en 2023, ça devrait encore continuer…

Cette forte inflation qui n’avait pas été vue depuis les années 70 est principalement due à l’augmentation du prix de l’énergie (+15,1%) et de l’Alimentation (+12,1%).

Le pic d’inflation à 7% devrait intervenir tout début 2023 avec l’augmentation des prix règlementés par l’Etat :

Fin de la remise de 10 centimes par litre de carburant en janvier (+0,1% sur l’inflation)
Hausse des tarifs règlementés du Gaz +15% en janvier (+0,2% sur l’inflation)
Hausse des tarifs règlementés de l’électricité +15% en février (+0,4% sur l’inflation)

Une des conséquences de la hausse de l’inflation depuis 2021 est l’augmentation « mécanique » du SMIC :

Une première fois de 2,2% au 1er octobre 2021,
Puis de 0,9% au 1er janvier 2022,
Puis de 2,6% au 1er mai 2022,
Puis de 2% au 1er août 2022,
Il est désormais porté à 1 709,28 €/mois sur une base 35 heures hebdomadaire.

Pour rappel, le SMIC est indexé sur l’inflation mesurée pour les 20 % des ménages ayant les revenus les plus faibles. Il peut de plus y avoir une revalorisation supplémentaire sur décision du gouvernement, ce qui n’a pas été fait depuis 2007.

Salaire minimum conventionnel

La précédente réévaluation des grilles de salaires minimas conventionnels datait de novembre 2020. La forte inflation a nécessité une « mise à jour » de ces grilles.

De plus, en raison des augmentations successives du SMIC, les premiers niveaux de la grille ETAM se sont retrouvés en-dessous du salaire minimum légal. Il a fallu réagir !!

Les Organisations patronales et quelques Organisations Syndicales (CFDT, CFTC et CFE-CGC) se sont dévouées pour faire le minimum qui a consisté à :

Relever les premiers niveaux ETAM afin d’être au-dessus du SMIC (avec suppression du tout premier niveau),
Réévaluer de seulement +2,5% les autres niveaux ETAM et IC.

Salaire mensuel brut ETAM

Position

A partir du 22 juillet 2022

Position

A partir du 27 décembre 2022

1.1/230

1 635 €

 

1.2/240

1 643 €

1.1/240

1715 €

1.3/250

1 659 €

1.2/250

1745 €

2.1/275

1 726 €

2.1/275

1775 €

2.2/310

1 831 €

2.2/310

1831 €

2.3/355

1 971 €

2.3/355

1971 €

3.1/400

2 111 €

3.1/400

2111 €

3.2/450

2 266 €

3.2/450

2266 €

3.3/500

2 415 €

3.3/500

2415 €

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Salaire mensuel brut Ingénieur et Cadre

Position

A partir du 22 juillet 2022

1.1/95

2 033 €

1.2/100

2 140 €

2.1/105

2 241 €

2.1/115

2 454 €

2.2/130

2 774 €

2.3/150

3 201 €

3.1/170

3 577 €

3.2/210

4 419 €

3.3/270

5 681 €

Nota : les salaires minimas des salariés en modalité « 158h mensuel / 10 RTT » et « 38h30 hebdo / 218 jours » sont à majorer de 115%...

Commentaires FO

Face à ces réévaluations bien loin d’être suffisantes, nous faisons les constats suivants :

 Le patronat reste arc-bouté sur le dogme de la maîtrise de la masse salariale. La conséquence actuelle est que les entreprises de la branche ont de grosses difficultés à embaucher avec des salaires aussi peu attractifs.

⇒Certaines Organisations Syndicales – CFDT, CFTC et CFE-CGC – font de la « co-gestion » avec le Patronat, en participant à la maîtrise de la masse salariale. Mais est-ce pour le bien des salariés ?

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Les salaires chez Altran

Fort heureusement, à part quelques cas très rares, il n’existe pas de salariés ETAM en positions 1.1 et 1.2, donc tous les salariés Altran sont payés au-dessus du SMIC. Par contre, les NAO (Négociations Annuelles Obligatoires) 2022 ont débouché sur un engagement unilatéral de la direction d’une augmentation de la masse salariale de 2,5% avec uniquement des augmentations individuelles, ce qui a donné de nombreux salariés non augmentés ou avec une faible augmentation. Les NAO 2023 ont débuté un peu plus tôt cette année. Mais pour l’instant, les propositions de la Direction sont aussi indigentes que l’année précédente.

Rappelons que 2022 a été une année avec un très fort turn-over, en raison principalement de la question du salaire. De plus, les salariés nouvellement embauchés ont bénéficié de salaire 10 à 20 % plus élevés, à même classification, ce qui a « motivé » les « anciens » salariés à quitter l’entreprise pour trouver une meilleure rémunération.

Evidement, les conséquences de ce fort turn-over sont que les prestations sont mal assurées (comment gérer un projet quand l’équipe projet est un courant d’air ?), que le service recrutement est saturé, que les managers ne font que de la gestion administrative des consultants (droit d’accès, badge, PC, outils divers, …), …

⇒ A notre avis, il serait plus judicieux pour l’entreprise de stabiliser les effectifs en réévaluant substantiellement les salaires. Cela permettrait à chaque salarié de se concentrer sur son métier plutôt que de gérer tant bien que mal les entrées et sorties. Et peut-être que l’entreprise gagnerait en « performance »…

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Revendication FO

Depuis 1982, avec le tournant de l’austérité, un gouvernement dit « socialiste » a supprimé par la loi l’échelle mobile des salaires. Jusqu’à cette date, cette disposition imposait une indexation automatique des salaires sur la hausse réelle des prix. Depuis, les salaires ont constamment été réévalués en-dessous de l’inflation, ce qui donne aujourd’hui un tassement des salaires « juste au-dessus du SMIC ». Certains objecteront que ce dispositif alimente l’inflation… D’autres argumenteront que des salariés sans pouvoir d’achat et ne consommant plus entrainent l’asphyxie du système économique. En attendant, ce sont les salariés qui ont du mal à assurer leur quotidien par manque d’argent.

Alors, oui à l’indexation des salaires à l’inflation !

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Plafond Sécurité Sociale (PSS)

Le PSS est augmenté, passant 3 428 €/mois à 3 666 €/mois, soit 43 992 € en valeur annuelle.

Pour rappel, le PSS est le plafond de référence pour calculer les cotisations sociales. Celles-ci ont des taux différents selon des tranches de salaire qui sont des multiples du PSS.

La tranche A ou 1 correspond à la part de salaire mensuel inférieur ou égale au PSS,
La tranche B ou 2 correspond à la part de salaire mensuel située entre le PSS et 4 fois le PSS.

La fixation des taux de cotisation

Les taux associés aux tranches sont fixés par la Sécurité Sociale et les caisses de retraite, sauf pour deux exceptions : la prévoyance et la complémentaire santé où ce sont la Direction et les Organisations Syndicales signataires de l’accord « Mutuelle » qui décident des taux.

Or, chez Altran, il n’y a pas d’accord « Mutuelle » mais simplement un engagement unilatéral de la Direction. Les taux ont donc été décidés unilatéralement par la Direction.

On peut par exemple constater que :

⇒ Pour la prévoyance, les taux Salarié et Employeur sont les mêmes pour les tranches A et B.
⇒ Par contre, pour la complémentaire santé, les taux Tranche A (1,255%) sont plus élevés que les taux Tranche B (0,93%). Cela signifie que les « gros salaires » cotisent moins en proportion que les « petits salaires ».

Cet exemple va à l’encontre du principe de base avancé lors de la création de la Sécurité Sociale :

« On cotise selon ses moyens, on utilise selon ses besoins »

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Pour Altran, le PSS détermine également le type de contrat de travail :

Si vous avez une rémunération inférieure au PSS, vous avez l’une des modalités de temps de travail suivantes :
 35 heures hebdo
 158 heures par mois – 10 RTT/an
 37 heures hebdo – 12 RTT
Par contre, si votre rémunération est supérieure au PSS, votre modalité de temps de travail peut être :
 Forfait 38h30 hebdo – 218 jours/an
 Forfait 218 jours/an

Attention, il peut y avoir deux exceptions :

Salarié avec modalité « 158 heures par mois – 10 RTT/an » et au-dessus du PSS. Vous pouvez demander à passer en modalité « Forfait 38h30 hebdo – 218 jours/an » afin de bénéficier d’heures supplémentaires « structurelles », exonérées de cotisations salariales et défiscalisées.
Salarié avec modalité « Forfait 38h30 hebdo – 218 jours/an » et au-dessous du PSS. En général, Altran vous imposera de modifier votre modalité en « 35 heures hebdo » ou « 158 heures par mois – 10 RTT/an ».
⇒ Cette dernière situation risque de se retrouver de nombreuses fois étant donné la forte augmentation du PSS (+6,9%)

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Cotisations Mutuelle

Complémentaire santé

En 2020, il y a eu la mise en place du 100% santé, à la suite d’une obligation légale. Ce dispositif a été instauré pour avoir un reste à charge « zéro » pour les prothèses dentaires, les prothèses auditives et l’optique. Le surcoût financier induit a été pris en charge par trois acteurs : la Sécurité Sociale, les prestataires de prothèses et les mutuelles, le tout sous la pression du gouvernement de l’époque. Le principe étant de ne pas augmenter les cotisations des salariés.

En 2022, on siffle la fin de la partie : le gouvernement réduit encore et toujours le budget de la Sécu, les prestataires de prothèses remontent les coûts de leurs services et les mutuelles sont en déficit. Evidemment…

Donc en 2022, nos cotisations pour notre complémentaire santé augmentent de 5%.

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Il en résulte :

Salarié + enfants + Conjoint sans revenu

Répartition des cotisations

Taux

Part
Salariale

Part
Employeur

Cotisations
salarié

Cotisations
employeur

Cotisations
totales

2022

2023

2022

2023

2022

2023

Tranche A

50%

50%

1,255%

1,319%

1,255%

1,319%

2,510%

2,638%

Tranche B

50%

50%

0,930%

0,977%

0,930%

0,977%

1,860%

1,954%

.

Avec une simulation pour 2023 :

Cotisations
complémentaire santé

2 500
€/mois

3 000
€/mois

3 500
€/mois

4 000
€/mois

4 500
€/mois

Cotisations employeur

32,98 €

39,57 €

46,17 €

51,62 €

56,50 €

Cotisations salarié

32,98 €

39,57 €

46,17 €

51,62 €

56,50 €

Cotisations totales

65,95 €

79,14 €

92,33 €

103,24 €

113,01 €

Delta salarié 2023 – 2022

+ 1,60 €

+ 1,92 €

+ 2,24 €

+ 3,28 €

+ 3,51 €

Delta total 2023 – 2022

+ 3,20 €

+ 3,84 €

+ 4,48 €

+ 6,55 €

+ 7,02 €

La simulation prend en compte l’augmentation du PSS de 3 428 €/mois à 3 666 €/mois

.

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Commentaires FO

Attention, les tableaux ci-dessus donnent les cas les plus classiques. Ils sont à compléter pour les salariés sous le régime Alsace Moselle et les conjoints avec revenu. Pour plus de détails, vous pouvez nous contacter :

ds.fo@fo-groupe-altran.com

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Prévoyance

Et puis un miracle : les taux de cotisations pour la prévoyance vont baisser en 2023 !!..

Il en résulte :

Répartition des
cotisations

Taux

Part
Salariale

Part
Employeur

Cotisations
salarié

Cotisations
employeur

Cotisations
totales

2022

2023

2022

2023

2022

2023

Tranche A

12%

88%

0,20%

0,19%

1,47%

1,43%

1,67%

1,62%

Tranche B

12%

88%

0,20%

0,19%

1,47%

1,43%

1,67%

1,62%

.

Avec une simulation pour 2023 :

Cotisations prévoyance en 2023

2 500
€/mois

3 000
€/mois

3 500
€/mois

4 000
€/mois

4 500
€/mois

Cotisations employeur

35,75 €

39,57 €

46,17 €

51,62 €

56,50 €

Cotisations salarié

4,75 €

5,70 €

6,65 €

7,60 €

8,55 €

Cotisations totales

40,50 €

45,27 €

52,82 €

59,22 €

65,05 €

Delta salarié 2023 – 2022

-0,25 €

-0,30 €

-0,35 €

-0,40 €

-0,45 €

Delta total 2023 – 2022

-1,25 €

-4,83 €

-5,64 €

-7,58 €

-10,10 €

La simulation prend en compte l’augmentation du PSS de 3 428 €/mois à 3 666 €/mois.

Commentaires FO

Nous constatons que cette baisse de cotisations prévoyance est surtout au bénéfice de notre employeur, qui fait ici une économie que nous chiffrons aux environs de 50 000 euros. Pour plus de détails, vous pouvez nous contacter :

ds.fo@fo-groupe-altran.com

Politique de frais

En principe, la politique de frais devrait être révisée, d’une part pour se recaler par rapport aux nouveaux plafonds URSSAF et d’autre part pour se mettre à peu près en conformité avec la politique de frais Capgemini.

Pour l’instant, nous n’avons pas d’infos sur ce sujet..

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Conseils FO

Pour toutes informations complémentaires, vous pouvez nous contacter :

ds.fo@fo-groupe-altran.com

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ds.fo@fo-groupe-altran.com

Med : Jean-Luc Bouscary 06 62 16 46 91
RA : Pierre Vettori 06 73 18 38 78
IdF : Gaëtan Séguillon 06 03 81 53 13
IdF : David Gomès 06 09 05 84 04
ASO : Vincent Mathon 06 13 27 25 90
ASO : Xavier Craipain 06 20 09 09 78

Ouest : Robin Gérald 06 29 60 55 04
Est : Julien Do Nascimento 06 72 23 05 30
Est : Pascal Bougrat 06 31 77 09 57

 

Directeurs de la publication : Jean-Luc Bouscary